Atelier de recherche-création «S’approprier l’Effondrement »

En juin 2021, nous avons organisé notre premier atelier de recherche-création intitulé S’approprier l’Effondrement.

 

 

DATES

Le workshop se tiendra sur 3 semaines, 2 jours/semaine. 10-11 ; 17-18 ; 24-25 juin 2021

 

LIEU

POUSH. Incubateur d’artistes accueillant plus de 200 artistes sur 15 étages.
6 Boulevard du Général Leclerc, 92110 Clichy. RER C et Métro Saint-Ouen (l.14) ou Porte de Clichy (l. 13)

 

PARTICIPANT.E.S

Ce workshop dispose de 15 places et est ouvert aux jeunes chercheurs et chercheuses en lettres, en art ou en sciences humaines et sociales, ainsi qu’aux artistes étudiant dans des écoles et universités membres de l’EUR ArTeC, dont les travaux personnels résonnent avec le thème de l’Effondrement, ou qui témoignent d’une curiosité plus largement pour l’anthropocène, l’écologie ou l’appropriation artistique des contenus générés sur Internet.

Les participant·e·s seront encadré.e.s par des artistes (exerçant dans le domaine des arts plastiques, de la littérature, de la performance…), des curateur·ice·s et des universitaires. Ils et elles travailleront ensuite de façon collaborative pendant six jours, répartis sur 3 semaines. Le workshop donnera lieu à une restitution.

 

Vous trouverez l’appel complet ici.

 

L’atelier a donné lieu à un article écrit à 8 mains par les quatre organisatrices dans la revue Marges : «S’approprier l’Effondrement : retour critique sur une expérience d’atelier de recherche-création »

Résumé: ‪Le workshop de recherche-création «  S’approprier l’effondrement  », organisé par l’association Après les réseaux sociaux a réuni des artistes et chercheur·ses émergent·es afin de confronter théories et pratiques, affects et regards critiques autour de la collapsologie, à travers un matériau privilégié  : les contenus générés par les utilisateurs (CGU) disponibles en ligne. Le texte qui en résulte problématise et prolonge les réflexions et gestes créatifs qui en sont nés, en se posant notamment la question suivante  : Comment un tel travail de recherche-création collectif, s’immergeant dans les discours et les représentations de l’Effondrement, peut-il permettre de résister au sentiment d’impuissance  ?

Photos de Raffard Roussel.